Le cheval aurait dû disparaître. C’est la domestication qui l’aurait sauvé. Il n’y aurait d’ailleurs aucune espèce de chevaux réellement sauvage. J’ai entendu dire cela par In our time de BBC 4.
Comme quoi, rien n’est simple. L’homme n’est pas que destructeur d’espèces animales, il est aussi créateur, ou protecteur. D’ailleurs, on peut imaginer que du fait des modifications qu’il apporte à la nature, il contribue à la sélection naturelle.
Je me demande parfois si la vie ne ressemble pas à mes rosiers : le rosier semble avoir un « principe vital », qui l’amène à profiter des difficultés que lui cause le jardinier, jusqu’à ce que la difficulté soit insurmontable, et que le rosier crève…