Un mot sur la réforme des retraites.
Elle illustre la raison d’être de l’association des interpreneurs, dont je suis un des fondateurs.
Le remous qu’elle a créé montre que notre pays est extraordinairement fragile. Il n’a plus d’armée, d’industrie, est dépendant de l’étranger, et généralement de régimes qui ne lui veulent pas du bien, quasiment pour tout ce qu’il consomme, est criblé de dettes, a des services publics qui ne sont plus que l’ombre de ce qu’ils furent, et en plus est au bord de la guerre civile. Dans mes cours d’histoire, on parlait de « montée des périls ». Et je n’exagère pas.
Ce dont nous avons besoin c’est d’un changement d’état d’esprit. Mot d’ordre : « responsabilité ». Le citoyen doit prendre son sort en main et faire preuve de solidarité, pour relancer le pays « par en bas ».