J’entendais parler de jeunes gens très brillants qui se sont engagés dans des études sur le cerveau. Pour un inculte tel que moi, leurs travaux sur l’animal ressortissent à des tortures difficilement concevables.
Bien sûr, on dira que l’homme est la mesure de toute chose, et que ces travaux profitent certainement à notre santé. Seulement, même cet argument n’est pas sûr. Car entre l’animal et l’homme, il n’y a qu’un cheveu. Et la tentation est grande de le franchir.
Alors, que faire ? Et si des scientifiques se donnaient pour contrainte de chercher à atteindre les mêmes objectifs que leurs collègues, mais avec d’autres moyens ? Qui sait ? Au moins cela ferait progresser la science.